Ancien Huile Sur

Ancienne huile sur toile Alexis II de Moscou Russie Icone orthodoxe Russe


Ancienne huile sur toile Alexis II de Moscou Russie Icone orthodoxe Russe
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Ancienne huile sur toile Alexis II de Moscou Russie Icone orthodoxe Russe
Ancienne huile sur toile Alexis II de Moscou Russie Icone orthodoxe Russe
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Ancienne huile sur toile Alexis II de Moscou Russie Icone orthodoxe Russe    Ancienne huile sur toile Alexis II de Moscou Russie Icone orthodoxe Russe

Ancienne trace de signature en bas à droite. Cachet de cire au dos du tableau.

PANNEAU : 32 x 21 cm. CADRE : 37 x 25 cm.

II), né Alexeï Mikhaïlovitch Ridiger à Tallinn en Estonie le 23 février 1929 et mort le 5 décembre 2008 dans sa résidence de Peredelkino, près de Moscou, en Russie, est le 15e patriarche de Moscou et de toutes les Russies (1990 - 2008). Son nom de Ridiger est issu d'une ancienne famille de la noblesse germano-balte (Rüdiger), ayant embrassé l'orthodoxie au XVIIIe siècle. Il a entretenu une relation difficile avec Jean-Paul II au sujet de l'Église grecque-catholique ukrainienne.

Il a manqué la rencontre avec Benoît XVI, ce qui aurait été une première ocuménique. Le 2 octobre 2007, il s'est rendu en France alors qu'aucun patriarche orthodoxe russe ne s'était rendu dans un pays de tradition catholique depuis que la hiérarchie orientale avait rompu avec Rome en 1054.

Le patriarche Alexis II a été « le premier patriarche de l'histoire soviétique à avoir été choisi sans la pression du gouvernement ; les candidats ont été désignés par proposition orale et l'élection a eu lieu au scrutin secret ». Dès son entrée en fonction, le patriarche Alexis est devenu un ardent défenseur des droits de l'Église, interpelant le gouvernement soviétique afin de permettre l'enseignement religieux dans les écoles et de faire voter une loi sur la « liberté de conscience ».

Au cours de la tentative de coup d'État d'août 1991, il a dénoncé l'arrestation de Mikhaïl Gorbatchev et lancé l'anathème contre les auteurs du coup d'État. Il a publiquement remis en question la légitimité de la junte, appelé les militaires à la retenue et a exigé que Gorbatchev soit autorisé à s'adresser à la population18.

Il a lancé un deuxième appel contre la violence et la guerre fratricide, qui a été, grâce à des haut-parleurs, entendu par les troupes à l'extérieur de la Maison blanche de Russie, le parlement russe, une demi-heure avant l'attaque16. En fin de compte, le coup d'État a échoué et la situation a finalement abouti à l'éclatement de l'Union soviétique. Sous sa direction, des victimes de la répression religieuse du régime soviétique ont été glorifiées (l'équivalent de la canonisation catholique), à commencer par la grande-duchesse Élisabeth, le métropolite Vladimir de Kiev, et le métropolite Benjamin de Pétrograd en 199220. En 2000, ce fut au tour du Tsar Nicolas II et de sa famille, ainsi que de nombreuses autres victimes d'être canonisées21. De nouveaux noms continuent d'être ajoutés à la liste des Martyrs, après étude de chaque cas auprès de la Commission synodale de Canonisation22.

Le patriarche Alexis a également publié des déclarations condamnant l'antisémitisme. Il a été en 2005, le premier lauréat du prix d'État de la fédération de Russie pour son travail humanitaire. Le 27 avril 2007, certains médias russes ont fait part d'un état grave et même de la mort du patriarche ; l'on a démontré plus tard qu'il s'agissait bien d'un canular. Le patriarche Alexis a déclaré alors que la motivation de ces rumeurs avait été de faire échouer la réconciliation à venir entre l'Église Orthodoxe russe fidèle au patriarcat de Moscou et l'Église orthodoxe russe hors Russie26. « Comme vous pouvez le voir, je suis en bonne santé, je suis actif, je suis vivant », aurait-il déclaré26.

Malgré son âge, il semblait en bonne santé et il continuait à mener une vie pastorale active. On le voyait fréquemment à la télévision russe, célébrant des offices et rencontrant divers représentants du gouvernement. Funérailles du patriarche Alexis II En octobre 2007, il a prononcé un discours devant l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe à l'occasion de sa visite en France27.

Lors de son séjour à Paris, le patriarche, sur invitation de l'archevêque de Paris, s'est rendu à la cathédrale Notre-Dame pour y prier, au cours d'une célébration solennelle, devant les reliques de la Passion. Il est décédé à son domicile de Peredelkino, le 5 décembre 2008, et est enterré à la cathédrale de la Théophanie.
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